Extrait de différentes B.D.
Psychopompe ferroviaire de Ferenc et Aurélien Bédéneau, dont le dessin fait fortement penser à un mélange de Civiello et de Liberge, ce qui n’est pas la moindre des qualités (…) Enfin, notons le ton particulièrement mélancolique et désillusionné de Ferenc et Bédéneau dans Psychopompe ferroviaire.
Parfois un peu ardu, souvent drôle, Dieux et Idoles est un album très agréable à lire, et à relire, que l’on soit religieux, athée, théologue ou définitivement pas intéressé par la religion.
Critique complète sur: bdgest
Et en effet, je découvre des petites histoires, des tranches de vie autour de ce thème très vaste, qui a été interprété d’une manière bien personnelle par chacun des auteurs. Car c’est aussi ce qui m’a intéressée : découvrir tout un tas de jeunes auteurs de BD. Je me suis rendue compte qu’il y avait énormément de très jeunes auteurs talentueux en France.
Critique complète sur: Lectures d’ici et d’ailleurs
Aurélien Bédéneau, ses squelettes et son gris ultra précis, nous remet en tête le monsieur Mardi-Gras Descendres
Critique complète sur: BD Krinein
Placée d’entrée par Lucie Albon avec « Fragile », tranche de vie sobre à la chute étonnante et émouvante. Suivent une histoire de famille avec Karo face au décès d’un proche cousin, une confrontation avec un vampire (l’excellente Nancy Peña), des rêves d’évasion au cœur du désert américain (le jeune Matheo LeRouge), des envies de meurtres qui se concrétisent (l’étrange Aurélien Bedeneau), des petites bêtes mangeuses de seins (Jean-Luc Cornette au scénario)…
Le tout dans un joyeux mélange, un espèce de feux d’artifice d’univers graphique, de personnalités artistiques qui laisse transpirer une véritable envie de raconter, d’exprimer ces bouts d’histoire, à travers le prisme de leur sensibilité.
39 histoires, comme autant de raisons d’aller voir ce qui se passe derrière cette couverture sur laquelle l’ange voit la fumée de sa cigarette former un cœur (eh, pardi !).Amour & Désir se veut le futur collector qui aura vu les noms de la BD moderne et de celle de demain faire leurs premiers pas.
Dans Trop pur d’Aurélien Bédéneau un psychanalyste et un policier discutent du cas d’un assassin romantique(…)Un recueil d’histoires révélant des auteurs à suivre.
On en connait d’ailleurs certains : Soulcié (qui signe la couverture), Samos ou Pochep (sonPizza Vite est graphiquement génial !), qu’on a déjà croisé au sein du Psikopatou de l’Echo. Un collectif varié, alternant entre différent style : humoristique « mal dessiné » ou réalisme, en passant par l’expressionnisme d’un Bédéneau (un croisement improbable entre Foerster et Spawn) ou le minimalisme l’Alejandro Milà. Comme toujours, on retiendra certains auteurs plutôt que d’autres. Certains dont on sent un potentiel important, qu’on ne s’étonnera pas de revoir un de ces quatre…